Le 28 septembre 2022, L'Organisation mondiale de la santé (OMS) et l'Organisation internationale du travail (OIT) ont appelé à des mesures concrètes pour répondre aux problèmes de santé mentale en milieu professionnel.
Ainsi, l’OMS a publié un document intitulé « Lignes directrices sur la santé mentale au travail »
et l’OMS et l’OIT ont conjointement publié une note d’orientation pour la mise en œuvre pratique de ces lignes directrices par les gouvernements, les employeurs, les organismes de représentation des travailleurs, dans les secteurs public et privé.
L'objectif de ces préconisations est de soutenir la prévention des risques pour la santé mentale, de protéger et de promouvoir la santé mentale au travail, et de soutenir les personnes atteintes de troubles mentaux afin qu'elles puissent participer au monde du travail et s'y épanouir.
En me livrant à la lecture de ces documents, j’ai constaté avec intérêt (et joie !) que le recours à la pleine conscience y est préconisé en tant que pratique psychoéducative, de management du stress et émotionnel.
A plusieurs reprises dans leurs publications, ces organisations recommandent le recours à des « Des interventions psychosociales visant à renforcer les compétences des travailleurs en matière de gestion du stress, telles que des interventions axées sur la pleine conscience, peuvent être envisagées afin de promouvoir une santé mentale positive, de réduire la détresse psychologique et d’améliorer l’efficacité au travail. »
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